Titre : Exercices de théorie financière et de gestion de portefeuille
Auteurs : Michel DUBOIS & Isabelle GIRERD-POTIN
Publication : 2001
Editeur : DeBoeck Université
ISBN : 2-8041-3530-6
Nombre de pages : 312
Prix : 275 francs (ou 41,92 euros)
Cet ouvrage a pour objectif de mettre en pratique, à partir d'exercices, les techniques de gestion quantitative de
portefeuille reposant sur la théorie des marchés financiers. Toutes les étapes de l'investissement en
actifs financiers sont abordées : définition du profil et de l'objectif de l'investisseur, choix de portefeuilles
optimaux, définition de stratégies, estimation des performances. De même sont étudiés les différents types d'actifs :
actions, obligations, futures, options.
Destiné aux étudiants des 2e et 3e cycles universitaires en finance ainsi qu'aux professionnels de la
gestion de portefeuille et conçu comme le complément pratique du livre théorique Gestion de portefeuille paru dans la
même collection, l'ouvrage comprend de nombreux exercices de longueur et de niveau variés, certains à réaliser à
l'aide d'un tableur. Les données réelles et les corrigés sont fournis sur CD.
Michel DUBOIS
Docteur en sciences de gestion, il est professeur ordinaire à l'Université de Neuchâtel.
Isabelle GIRERD-POTIN
Maître de conférences à l'Ecole Supérieure des Affaires de l'Université Pierre Mendès France de Grenoble, elle est
responsable du DESS Finance d'Entreprise et des Marchés de Grenoble.
Le but de ces pages introductives est de délimiter le champ de travail, de justifier le plan de l'ouvrage et de fournir un "mode d'emploi" au lecteur.
Le titre de l'ouvrage peut paraître bien ambitieux puisqu'il semble recouvrir la théorie financière et la gestion de portefeuille. En fait, le but de ce livre est de mettre en oeuvre les méthodes de gestion de portefeuille qui sont issues des développements de la théorie financière. L'accent est donc mis sur l'articulation entre théorie financière et pratique de la gestion. Cela nous conduit à ignorer les techniques de gestion de portefeuille basées sur l'intuition, le comportement ou la "psychologie" des marchés financiers. Ainsi, par exemple, nous ne proposons pas d'exercice faisant référence à l'analyse technique. Observons que ce n'est pas un problème pour le lecteur car ce thème peut être abordé par le biais d'autres ouvrages qui ne nécessitent aucune connaissance préalable et qui forment un tout homogène, sans lien direct avec notre propos, sinon l'objet de travail. Nos choix s'appuient sur la conviction que la gestion de portefeuille peut être rationnalisée, que le bon sens et l'intuition ne suffisent pas pour prendre de bonnes décisions et les justifier. Nous ne prétendons pas à l'exhaustivité dans le choix des thèmes retenus. Cependant, nous avons essayé de présenter les éléments fondamentaux et de les compléter par les avancées qui nous paraissent importantes. Nous n'ignorons pas qu'il demeure une part de subjectivité et de goût personnel dans les aspects plus novateurs qui ont été sélectionnés.
L'ouvrage est divisé en 8 chapitres qu'on peut regrouper en trois sous-groupes : les chapitres 1 à 3 sont des chapitres généraux. Ils concernent l'évaluation des flux monétaires dans un cadre d'incertitude. En conséquence, la nature de l'actif financier auquel on s'intéresse n'est pas la question centrale. Les chapitres 4 à 7 sont organisés par types d'actifs : actions, obligations et produits dérivés. Enfin, le chapitre 8 clôt le processus de gestion avec l'évaluation des performances.
Le gestionnaire de portefeuille peut être l'investisseur lui-même ou bien un gestionnaire mandaté par des tiers. Quoi qu'il en soit, l'acteur économique au centre de nos préoccupations est l'investisseur en titres financiers, qu'il soit particulier ou institutionnel, gestionnaire direct ou bien qu'il ait confié un mandat. La première tâche consiste à cerner le profil et les objectifs de l'investisseur : quel est son horizon, mais aussi son univers d'investissement, quelle est sa richesse initiale et son attitude vis-à-vis du risque ? Sur un plan formalisé, ceci se réalise en déterminant d'abord la fonction d'utilité de l'investisseur, autrement dit sa satisfaction pour différents niveaux de richesse aléatoire. La fonction d'utilité est le point d'appui de la règle de maximisation de l'utilité espérée qui reste, malgré ses imperfections, la règle de choix de l'investisseur rationnel en situation d'incertitude. Le chapitre 1 "Théorie de l'utilité espérée et choix de l'investisseur en situation d'incertitude" s'attache à la construction de la fonction d'utilité de l'investisseur, à la caractérisation de son profil de risque et à l'application de la règle de maximisation de l'utilité espérée qui permet d'ordonner les différents placements possibles.
Le maniement des fonctions d'utilité est malaisé. Aussi, en supposant alternativement que les fonctions d'utilité sont quadratiques ou que les distributions de rentabilité des véhicules de placement sont complètement caractérisées par l'espérance et la variance, cas notamment des distributions normales, le choix de placement peut s'effectuer uniquement à partir des espérances, des variances et des covariances des actifs financiers. Maximiser l'espérance d'utilité revient alors à faire une optimisation espérance-variance, par exemple en minimisant la variance du portefeuille pour une rentabilité espérée donnée. Le chapitre 2 "L'univers espérance-variance : constitution de portefeuilles efficients" est consacré à ces questions. Il aborde le concept fondamental de diversification en faisant apparaître l'importance des corrélations entre les actifs et donne plusieurs applications de construction de frontière efficiente. Pour aller plus-loin, d'autres mesures du risque que la variance sont envisagées et l'horizon d'investissement est pris en considération. La construction de la frontière efficiente en univers espérance-variance repose sur les estimations des espérances, des variances et des covariances de la rentabilité des titres. Si les anticipations divergent, la frontière efficiente diffère d'un investisseur à l'autre. Le chapitre 3 "Modèles d'équilibre et d'arbitrage" s'intéresse au marché tout entier (ensemble des investisseurs et des titres) et propose des modèles rentabilité-risque pour chaque titre pris individuellement, c'est-à-dire une relation entre l'espérance de rentabilité d'un titre individuel et le risque (mono ou multifacteur) de ce titre. Le modèle central de ce chapitre est le CAPM (Capital Asset Pricing Model) qui découle directement de l'univers espérance-variance en rajoutant une hypothèse d'anticipations homogènes des investisseurs (ils ont alors la même frontière efficiente). La mesure du risque est le bêta, ou risque systématique, et la relation entre espérance de rentabilité et bêta est linéaire. L'autre approche théorique repose sur l'absence d'opportunité d'arbitrage qui est une hypothèse moins contraignante que l'équilibre. Dans ce cas seulement, on aboutit à une relation linéaire entre espérance de rentabilité et sensibilité du titre par rapport à un ou plusieurs facteurs. Des modèles plus intuitifs sont également envisagés. Tous ces modèles permettent très concrètement à l'investisseur de détecter les titres sur- ou sous-évalués par rapport au modèle de référence et de choisir le niveau d'exposition du portefeuille au(x) facteur(s) de risque.
Les chapitres précédents ne nécessitent pas de définir précisément les actifs financiers choisis par l'investisseur. Les cadres théoriques envisagés et les principes qui en découlent s'appliquent aux différents actifs disponibles pour investissement. Cependant, chaque type d'actif a ses particularités et ses modes de gestion induits. Pour les chapitres suivants, cela nous conduit, dans un but pédagogique, à différencier les actifs. Aussi, les chapitres 4 "Modèles actuariels et évaluation des actions" et 6 "Stratégies de gestion de portefeuille d'actions" sont entièrement consacrés aux actions. L'évaluation des obligations et les particularités de gestion d'un portefeuille obligataire sont abordées au chapitre 7. Nous avons limité les applications aux actifs financiers, raison pour laquelle aucun exercice ne porte sur le marché de l'immobilier. Les deux chapitres portant sur des stratégies particulières de gestion (chapitres 6 et 7) nécessitent la connaissance des produits dérivés. Le chapitre 5 "Les produits dérivés" permet de se familiariser avec les relations d'arbitrage et les stratégies d'utilisation.
Concernant les actions, le chapitre 4 présente les principaux modèles d'actualisation des dividendes. Les modèles rentabilité-risque développés au chapitre 3 sont une aide pour l'estimation du taux d'actualisation. Le chapitre 6 est consacré à des stratégies particulières comme la gestion indicielle, l'assurance portefeuille, la diversification internationale. La place accordée à la gestion indicielle se justifie théoriquement par la répartition du portefeuille entre actif sans risque et portefeuille de marché prônée par le CAPM et pratiquement par les nombreux tests en faveur de l'efficience des marchés montrant la difficulté de battre durablement le marché. L'une des façons de répliquer l'indice étant d'acheter des contrats à terme sur indice, quelques exercices sur les marchés à terme d'indices sont proposés dans ce chapitre. Le chapitre 7, consacré aux obligations, fait une place centrale aux taux d'intérêt (structure à terme, taux réels et taux nominaux) et à leur influence sur la valeur des obligations mesurée par la duration et la sensibilité. Ces paramètres permettent de choisir le niveau d'exposition au risque de taux d'intérêt voire de l'annuler par l'immunisation. Les contrats à terme sur taux d'intérêt et leur utilisation en gestion obligataire figurent dans ce chapitre.
En fin d'ouvrage, "La mesure de performance" trouve logiquement sa place car elle est le dernier maillon de la gestion de portefeuille, à savoir analyse, décision et contrôle. La première difficulté évoquée est celle de la mesure de la rentabilité d'un portefeuille, tâche moins triviale qu'il n'y paraît au premier abord. Toute la théorie des marchés financiers tourne autour de la rentabilité et du risque : il n'est donc pas surprenant de retrouver ces deux dimensions dans l'évaluation de la performance. Les indices synthétiques issus de l'analyse espérance-variance et des modèles rentabilité-risque sont appliqués à différents portefeuilles et comparés. Des mesures de risques de type risque inférieur (moments partiels inférieurs, perte maximale) sont envisagées pour classer des fonds. La gestion pour compte de tiers se fait très souvent par définition d'un benchmark ou référence, le gestionnaire tentant de répliquer ou sur-performer le benchmark. Dans ce cadre et dans un but de contrôle de gestion, des méthodes d'attribution de performance qui répartissent la sur- ou sous-performance aux différents niveaux de gestion sont utilisées.
Certains exercices sont accompagnés de fichiers Excel (un fichier par exercice) disponibles sur le CD-Rom joint au livre. Ils sont signalés dans l'introduction de début de chapitre et dans le corps du texte. Volontairement, l'usage du tableur a été limité aux exercices qui nécessitent, soit des données nombreuses et donc difficiles à traiter sur une simple machine à calculer, soit des techniques statistiques, économétriques ou d'optimisation. Pour les apprentissages de base, nous avons privilégié des exercices faisant appel à peu de données. Il nous a semblé préférable de scinder les difficultés. Dans un premier temps, il s'agit d'acquérir les concepts. Puis, dans un second temps, nous abordons les problèmes concrets qui, fréquemment, nécessitent un important traitement des données. Chaque chapitre doit donc permettre de progresser au fur et à mesure des exercices de deux manières : soit en introduisant des données plus lourdes et plus complexes à traiter, soit en apportant de nouvelles notions. Certains exercices peuvent être ignorés en première approche. Au début de chaque chapitre, nous signalons les exercices jugés indispensables et ceux qui peuvent être vus plus tard en deuxième lecture. Il va sans dire que le lecteur ne pourra bénéficier pleinement des exercices qu'à condition de se mettre en situation de les résoudre sans l'aide du corrigé, le corrigé permettant de valider ou de débloquer une situation. Cet ouvrage complète un manuel sans pour autant s'y substituer. Quelques manuels de référence sont indiqués en bibliographie à la fin de l'ouvrage et notamment dans la même collection que celui-ci, la troisième édition de "Gestion de portefeuille" dont les auteurs sont Messieurs Broquet, Cobbaut, Gillet et Van Den Berg, pour lequel des renvois plus précis sont donnés à chaque chapitre. Il n'est pas possible de faire de la gestion de portefeuille quantitative sans avoir compris les grands principes de la théorie des marchés financiers ni sans connaître un minimum de mathématiques et de statistiques. Il y'a donc un "ticket d'entrée". Cela peut rebuter au départ, cependant, il s'agit du prix à payer pour comprendre les apports et les limites des techniques proposées, pour être capable de juger et d'utiliser des techniques à venir. Ainsi, par exemple, l'étude des fondements de l'analyse espérance-variance permet de saisir immédiatement dans quelles conditions le choix d'une mesure de risque alternative est pertinent.
Cet ouvrage est né du souhait de réunir le matériel pédagogique mis en place et expérimenté auprès de nos étudiants respectifs de l'ESA de Grenoble et de l'Université de Neuchâtel tant en deuxième cycle (licences et maîtrises) qu'en troisième cycle (DESS, DEA et Master en finance). Il a aussi été utilisé dans les formations continues que nous avons animées en France et en Suisse. Il a grandement bénéficié des remarques et des critiques que nous ont adressées nos collègues. Nous tenons à remercier tout particulièrement Jean-François Bacmann, Guido Bolliger, Pierre Jeanneret et Pascal Louvet pour leur lecture attentive du manuscrit. Cependant, nous restons entièrement responsables des erreurs résiduelles qui auront pu s'être glissées ici ou là. Nous remercions également le Fonds des Publications de l'Université de Neuchâtel pous son soutien matériel.
Nous sommes convaincus que les techniques modernes de gestion de portefeuille ne peuvent être maîtrisées que si la théorie financière est parfaitement connue. Comme celle-ci est technique, sa compréhension exige une démarche active telle qu'on la pratique habituellement en physique ou en mathématiques, disciplines où l'exercice est la clef de voûte de l'apprentissage.
Au premier abord, l'idée de faire un ouvrage d'exercices nous a semblé intéressante et simple à mettre en oeuvre. Sur l'intérêt de l'entreprise, nous avions raison, sur la simplicité, nous avions tort. En effet, l'expérience s'est avérée enrichissante par les réflexions, les approfondissements et les échanges qu'elle a suscités. En revanche, le travail a été beaucoup plus long et complexe que nous ne l'imaginions au départ.
Cet ouvrage est aussi le fruit des nouvelles technologies de la communication. En effet, nous avons pu travailler ensemble à distance et nous ne comptons plus le nombre de mails échangés et d'envois de fichiers par FTP entre Grenoble et Neuchâtel.
Enfin, disons aussi que ce livre a vu le jour grâce à une amitié et une estime réciproques qui nous ont donné l'énergie pour mener à bien ce projet.
Michel DUBOIS et Isabelle GIRERD-POTIN
Introduction générale | 5 |
Convention et notations | 11 |
Chapitre 1 Théorie de l'utilité espérée et choix de l'investisseur en situation d'incertitude | 13 |
INTRODUCTION | 13 |
1. Classement des projets | 14 |
2. Axiomes de l'utilité | 18 |
3. Construction d'une fonction d'utilité | 20 |
4. Etude de la fonction d'utilité logarithme | 23 |
5. Utilité quadratique et iso-utilité | 24 |
6. Classement des projets, états de la nature et flux | 26 |
7. Classement des projets et taux de change | 28 |
8. Utilité espérée et critère espérance-variance | 30 |
9. Choix d'investissement et utilité | 33 |
10.Composition du portefeuille optimal | 35 |
11.Approximation de l'utilité espérée (CD) | 38 |
12.Limite du concept de maximisation de l'utilité espérée | 40 |
BIBLIOGRAPHIE | 41 |
Chapitre 2 L'univers espérance-variance : constitution de portefeuille efficients | 43 |
INTRODUCTION | |
1. Portefeuilles efficients avec deux titres : cas particulier | 44 |
2. Portefeuilles efficients avec deux titres : cas particulier bis | 48 |
3. Portefeuilles efficients avec deux titres : cas général | 51 |
4. Deux actifs - Incidence de la corrélation | 53 |
5. Frontière efficiente (CD) | 55 |
6. Frontière efficiente avec deux actifs risqués et un actif sans risque | 58 |
7. Risque du portefeuille en fonction du nombre d'actifs risqués | 61 |
8. Propriétés de la frontière efficiente avec n actifs risqués | 63 |
9. Construction de la frontière efficiente non contrainte (CD) | 66 |
10.Construction de la frontière efficiente contrainte (CD) | 68 |
11.Frontière efficiente avec taux sans risque prêteur et emprunteur différents (CD) | 74 |
12.Frontière efficiente et modèle de marché (CD) | 79 |
13.Carte d'indifférence, limite du critère espérance-variance | 82 |
14.Autres mesures du risque que la variance (CD) | 84 |
15.Temps et diversification | 87 |
BIBLIOGRAPHIE | 89 |
Chapitre 3 Modèles d'équilibre et d'arbitrage | 91 |
INTRODUCTION | |
1. Security Market Line (SML) et Capital Market Line (CML) | 92 |
2. Equation de la SML et position des titres | 94 |
3. CML et portefeuille optimal | 97 |
4. Frontière efficiente et équilibre de marché | 98 |
5. CAPM et prix d'un actif | 100 |
6. Primes de risque | 101 |
7. CAPM de Lévy (1978) | 103 |
8. CAPM à bêta-zéro et géométrie de la frontière efficiente (CD) | 105 |
9. Investissement non coté | 109 |
10.Risque systèmatique et structure financière | 110 |
11.CAPM dans un cadre international : le cas Nestlé | 112 |
12.Arbitrage | 114 |
13.Modèle APT à deux facteurs | 116 |
14.Modèle de marché, modèle multi-indices | 118 |
15.Rentabilité et coefficients d'ajustement (CD) | 119 |
16.Stabilité des bêtas et incidence du pas de calcul <CD) | 122 |
BIBLIOGRAPHIE | 128 |
Chapitre 4 Modèles actuariels et évaluation des actions | 131 |
INTRODUCTION | 131 |
1. Evaluation par les dividendes | 132 |
2. Evaluation par les dividendes et CAPM | 134 |
3. Modèle de Gordon-Shapiro et rente perpétuelle | 135 |
4. Modèle de Gordon-Shapiro et hypothèses | 137 |
5. Modèle de Bates | 139 |
6. Modèle de Holt | 141 |
7. Sensibilité aux taux d'intérêt | 143 |
8. Rentabilité et fiscalité | 144 |
9. Evaluation par les dividendes : une variante | 146 |
BIBLIOGRAPHIE | 148 |
Chapitre 5 Les produits dérivés | 149 |
INTRODUCTION | |
1. Relation Put-Call (CD) | 150 |
2. Formule de Black et Scholes et mesure du temps (CD) | 153 |
3. Les estimateurs de la volatilité historique et de la volatilité implicite (CD) | 155 |
4. Sensibilité du prix de l'option | 160 |
5. Arbitrage et convexité par rapport au prix d'exercice (CD) | 163 |
6. Modèle binomial et options européennes | 164 |
7. Modèle binomial et coûts de transaction | 167 |
8. Modèle binomial et options américaines | 170 |
9. Résolution de l'EDP de Black et Scholes (CD) | 173 |
10.Processus binomial et brownien géométrique | 177 |
11.Modèle binomial et modèle de Black et Scholes (CD) | 181 |
12.Simulation de la trajectoire du prix d'un titre (CD) | 184 |
13.Probabilité risque-neutre et évaluation par simulation (CD) | 187 |
14.Evaluation d'options "path dependant" par simulation (CD) | |
BIBLIOGRAPHIE | 193 |
Chapitre 6 Stratégies de gestion de portefeuille d'actions | 195 |
INTRODUCTION | 195 |
1. Calcul d'indices | 196 |
2. Appel de marge | 201 |
3. Arbitrage, coûts de transaction et spécificités du marché | 203 |
4. Arbitrage et dividendes | 204 |
5. Couverture avec des futures | 206 |
6. Gestion indicielle : réplication pure ou synthétique | 209 |
7. Gestion indicielle : réplication statistique (CD) | 214 |
8. Gestion indicielle tiltée (CD) | 215 |
9. Assurance portefeuille : méthode stop loss (CD) | 217 |
10.Assurance portefeuille : méthode du coussin (CD) | 219 |
11.Assurance portefeuille dynamique par réplication d'options (CD) | 223 |
12.Fonds à capital garanti | 227 |
13.Investissement international en actions (CD) | 229 |
BIBLIOGRAPHIE | 233 |
Chapitre 7 Evaluation et stratégies de gestion d'un portefeuille obligataire | 235 |
INTRODUCTION | 235 |
1. Taux d'intérêt et prix | 236 |
2. Taux d'intérêt, cotation et maturité | 238 |
3. Duration et approximation sur les flux (CD) | 239 |
4. Rente perpétuelle et duration | 241 |
5. Duration et immunisation d'un portefeuille obligataire | 243 |
6. Convexité et limite de la sensibilité et de la duration | 246 |
7. Explication de la structure par termes des taux d'intérêt | 248 |
8. Estimation de la structure par termes des taux d'intérêt | 250 |
9. Déplacement non paralléle de la courbe des taux | 251 |
10.Taux d'intérêt réel (CD) | 253 |
11.Facteur de concordance, moins cher à livrer sur le Matif | 256 |
12.Relation forward-future | 259 |
13.Couverture d'un portefeuille obligataire | 262 |
BIBLIOGRAPHIE | 264 |
Chapitre 8 La mesure de la performance | 265 |
INTRODUCTION | 265 |
1. Mesure de la rentabilité | 266 |
2. Valeur des parts d'un fonds | 268 |
3. Indices de performance (CD) | 269 |
4. Autres mesures de performance | 274 |
5. Mesure du timing : méthode de Treynor-Mazuy (CD) | 276 |
6. Mesure du timing : méthodes de Henriksson-Merton et Weigel (CD) | 279 |
7. Choix de la référence et test d'hypothèse (CD) | 281 |
8. Normalité des rentabilités (CD) | 292 |
9. Modèles safety-first et mesure de performance (CD) | 289 |
10.Dominance stochastique (CD) | 292 |
11.Attribution de la performance : allocation et sélection | 294 |
12.Attribution de la performance et traitement des devises | 298 |
BIBLIOGRAPHIE | 302 |
Ouvrages généraux en finance | 305 |
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